Jean-Claude Oleksiak : musicien
Catherine Morvan : comédienne et chanteuse
La compagnie Les Bruits de la Lanterne est née du désir de créer une rencontre entre la musique improvisée, la littérature et l'image cinématographique au sens large (films muets, films d'animation, lanternes vives).
Jean-Claude Oleksiak (musicien) et Catherine Morvan (comédienne et chanteuse) défendent la diffusion d'œuvres artistiques peu montrées, auprès d’enfants de tous les âges.
Ils sont persuadés qu'il faut nourrir l'enfant de ce qu'il y a de plus original et délicat. Dans un monde où tout s'accélère, ils aiment amener l'enfant, dès son plus jeune âge, à contempler et à rêver.
La compagnie des bruits de la lanterne est soutenue par le département de la Seine-Saint-Denis
Retrouvez le nouveau site des Bruits de la lanterne en cliquant ICI
☁ Le coquelicot crie dans l'orge bleue
(Nouvelle création)
ORIGINE La création de ce spectacle prend sa source dans des actions artistiques menées dans 5 crèches du département de La Seine Saint Denis durant la période de mars 2015 jusqu'à l'automne 2016. Nous avons exploré avec les enfants les matières qui ont servi la création : jeux d'ombres, jeux de lumières colorées, jeux de réfractions lumineuses, corps en ombre, parole poétique. L'interaction musicale avec eux nous a nourri aussi.
SCÉNOGRAPHIE
Des arbres posés sur scène évoquent une forêt. Deux grands écrans y sont suspendus. Des cairns sont érigés aux pieds des arbres. Un coin musique avec des éléments de percussions, une contrebasse, un violoncelle et un violon habitent l’espace. Tous ces éléments invitent notre public à un temps de rêverie et de contemplation.
DÉROULÉ
Dans un grand bol d’or, l’enfant est invité à choisir un mot (sculpté dans du fil métallique coloré)... un mot de poète. À chaque mot sorti du bol, une phrase poétique est entendu ; reliant ainsi le mot avec la poésie de Jean Grosjean. Ces mots sont ensuite placés sur scène et seront projetés en ombre à chaque changement de scène, comme le titre d’un chapitre. Puis, sous un arbre, la comédienne ouvre un livre de Jean Grosjean : « La lueur des jours ». Elle nous invite à entrer dans l’univers du poète. Le musicien joue de la contrebasse, entremêlant ses notes à la musique des mots poétiques. Chaque scène est introduite par la projection d’un mot sculpté : « coquelicot », « printemps, « chouette », « chemins », « rêver » et « étoiles ». Pour ce spectacle, un instrument/plateforme a été conçu : sur un grand miroir au sol sont posés des objets dont le son est retransmit par des capteurs amplifiés. En direct, la comédienne dessine avec du sable en interaction avec la musique produite sur la plateforme. Le tout est projeté sur un écran. Jean-Claude et Catherine habitent, à leur manière, cette parole du poète. On y trouve des réfractions lumineuses, des jeux de lumières colorées, des jeux d’ombres avec des éléments de la nature et le corps des interprètes, des lanternes vives, des improvisations musicales et vocales, divers instruments ( contrebasse, violoncelle, violon, flûte, objets de percussions.) Tous ces éléments se croisent et s’entrecroisent pour former cette pâte si singulière des « Bruits de la lanterne ».
NOTE D’INTENTION
Il n’y a pas d’histoire narrative. C’est un spectacle pour lâcher prise avec le réel et se laisser porter par son imaginaire. C’est une plongée dans le monde poétique de Jean Grosjean avec les éléments de prédilections de la compagnie : jeux de lumières, jeux d’ombres, lanternes vives, musique et chant improvisés, poésie. Au début du spectacle, l’acte de choisir un mot sculpté est pour nous une action qui tisse un lien entre l’enfant et la poésie. L’enfant devient acteur. Cette poésie lui appartient car il l’aura touché et choisit. Et il va retrouver ces mots sculptés tout au long du spectacle.
La campagne en secret est la toute nouvelle création de la compagnie Les Bruits de la Lanterne. Elle est destinée à un jeune public de 18 mois à 7 ans.
Sur un écran de 10 mètres d'envergure, des lanternes vives et magiques projettent en lumière et en ombre des instants de campagne partagés avec le spectateur comme des secrets dévoilés.
Dans le silence et dans la lumière de l'aurore, les mains du musicien se posent en ombre sur la contrebasse et sa musique annonce l'ouverture du récit : un arbre vit au plus haut de la montagne et nous invite à contempler les paysages qu'il y voit.
Un petit train lumineux trace devant nos yeux un chemin de nature fait de branches, d'herbes, de fleurs etc.
Dans le plaisir à ralentir le temps, percevoir le jour qui se lève, la nuit qui s'installe, les rayons de lune, la biche qui se cache derrière les blés, l'onde de l'eau lorsque la libellule se pose... Prendre le temps de se poser devant ces beautés reconstituées.
Musique et Poésie de François Cheng accompagneront ce chemin parcouru ensemble.
La poésie de Jules Supervielle et la musique de la contrebasse invitent les spectateurs à se poser et à entrer dans une contemplation de la nature.
La lanterne vive projette la lumière d'une aurore et c'est la vie animale qui commence. Un arbre se dresse puis se transforme en écrevisse qui s'efface dans le sable. Un oiseau s'envole et en se posant s'abandonne dans l'image d'un arbre sec, desséché par le temps. L'un après l'autre, les arbres, les animaux et les insectes font leur apparition avec leurs rythmes, leurs actions et leurs rencontres.
Le musicien soutient cette vie avec la richesse des sons de la contrebasse.
Les poèmes de Jules Supervielle ouvrent encore un peu plus les portes de notre imaginaire.
Prendre le temps de se poser devant Un petit hublot de ciel, c'est se donner à la poésie de la nature, tout simplement.
☁ L’homme qui plantait des arbres
L'homme qui plantait des arbres est un ciné-concert pour les petits et les grands à partir de 6 ans, qui entend sensibilisé les plus petits à des questions écologiques, humanistes et même politiques.
Dans une complémentarité surprenante, les deux artistes reprennent le film du cinéaste Frédéric Back –lui-même inspiré du récit de Jean Giono– pour y ajouter leur grain de sel, leur touche artistique.
La rencontre de l’image vibrante de ce dessin animé hors du commun et de l’univers sonore produit par la voix et la musique rend ce moment particulièrement intense et touchant. Le texte de Jean Giono prend ainsi toute son ampleur et son sens, soulignant les effets euphorisants provoqués par le contact avec la nature.
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